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Le paradoxe de l’obscène

Dans le cadre du festival Sublime la Vieille

Le paradoxe de l’obscène

Edith Laplane a été gynécologue pendant presque 40 ans. Après 2002, la pratique médicale et la pratique artistique se sont rejointes, l’une alimentant l’autre … une sorte d’unité s’est installée.

Une grande partie de son travail artistique porte sur le sexe féminin, au sens propre, la vulve, puisqu’il faut l’appeler par son nom.

Ce qu’on ne nomme pas, n’existe pas.

Représenter le sexe féminin, c’est pour elle, faire état d’un féminin non maternel, lui par ailleurs très représenté en art.  Sous cette forme, Edith Laplane raconte des histoires de femmes.

Elles constituent un ensemble de dessins,d’objets réalisés dans diverses   techniques, photomontage, papier mâché, assemblage, tricot, papiers pliés,… Utilisant divers matériaux : fourrure, dentelle, insectes, plumes, perles…