Depuis l’apparition des neumes il y a 1000 ans, la question de l’écriture musicale est devenue constitutive de l’acte de composer tout autant que d’interpréter la musique.
Mais comment rendre le visible audible ? Et quelle liberté le musicien possède-t-il face à l’écrit ?
A travers des exemples issus d’horizons temporels divers (des manuscrits de l’Ars subtilior médiéval aux partitions graphiques contemporaines) nous tenterons de cerner, en musique et en images, les extraordinaires et multiples facettes de ce qui constitue l’écriture musicale en Occident.