Un soir, alors qu’elle joue Marie Tudor, Florence disparaît. La police la retrouve au bout de 48 heures : elle est devenue Marie Tudor dans les rues de Paris.
Commence alors un long parcours pour cette comédienne qui ne met plus de frontières entre le JE et le JEU.
Elle incarne avec espièglerie, les personnages qui ont joué un rôle important dans sa vie, figures de théâtre mais aussi parents et psychiatres.
Chemin faisant, elle s’incarne aussi elle-même dans un périple étourdissant.
Car quand on souffre d’un trouble bipolaire, être un double de soi-même sur la scène du théâtre, c’est assez vertigineux.
Après La Magie lente, Denis Lachaud brise les tabous de la bipolarité avec une étonnante et jubilatoire lucidité.
> La représentation du 11/02 sera suivie d’un bord de scène avec Sophie Muselle, psychologue et metteuse en scène.
« Florence Cabaret fait résonner un texte à plusieurs voix avec une sensibilité à fleur de peau. Elle offre un témoignage poignant de ce qu’elle a vécu tout en portant haut les valeurs de l’espoir. » LE DAUPHINE
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